mercredi 9 avril 2008

Amortissement

Introduction

La comptabilité distingue deux types de dépréciations selon leur degré d'irrévocabilité : les amortissements et les dispositions. Cette distinction permet de respecter le principe d'avertissement qui consiste dans le non traitement de la même manière des opérations dont le caractère semble certaines (dans le cas des amortissements) ou vagues (dans le cas de dispositions).

1. Définition

Le Général Comptant le plan définit l'amortissement pour la dépréciation comme étant :

«L'observation de comptabilité d'une réduction de la valeur d'un élément d'actif résultant de la tradition, de temps, de changement de technique et tout à fait d'autre cause, dont les effets sont irréversible».

Nous pouvons nous tenir de cette définition :

Que le calcul d'un amortissement repose sur une observation et pas sur un flot, il est ainsi décidé par la même société.

Que l'amortissement concerne seulement les éléments de l'actif et plus exactement les immobilisations.

Que la dépréciation remarquée sous la forme d'un amortissement soit irréversible, sans ce que la dépréciation sera alors réservée comme une réserve.

Cette traduction une réduction consequentive, on considère l'amortissement comme une charge pour la société ce qui va ainsi réduire de tant de son résultat.

Que l'amortissement résulte un normal, qui n'est pas la cause exceptionnelle.

2. La considération de l'amortissement dans comptabilité

Les éléments de l'actif s'inquiétant de l'amortissement :

D'un point de vue de comptabilité, tous les éléments de l'actif ne s'inquiètent pas de l'amortissement. Tout d'abord, la notion de dépréciation irréversible s'applique seulement aux éléments des immobilisations (les comptes de classe 2). Et parmi ceux fixés, seulement de certains actifs peuvent savoir des dépréciations irréversibles : il est des éléments des immobilisations physiques et peu importantes (sauf le droit du bail et des raisons).

La notion de valeur comptable nette : (ou valeur résiduelle)

Du moment ou la société va enregistrer la perte de valeur de l'élément d'actif s'inquiétant de l'amortissement, celui-ci ne peut pas apparaître désormais dans les comptes de la société à son prix d'achat. La présentation du bilan de la société va ainsi distinguer des éléments divers dans la présentation de ces éléments des immobilisations :

La valeur d'origine de l'immobilisé bon : enregistré comme nous l'a vu dans le prix d'achat exclusif d'impôt.

Le versement annuel d'amortissement : qui établit la quantité de la dépréciation du bon remarqué pendant l'exercice.

La valeur comptable nette des bons : la valeur des bons obtenu par la différence entre sa valeur d'origine et la somme des versements annuels d'amortissement pratiqué sur ce bon.

Le calcul de l'amortissement :

En reposant sur aucun flot réel, la détermination de la quantité de l'amortissement est dans la compétence de la société. Pour que cette évaluation soit crédible et homogène entre les sociétés diverses, le calcul des amortissements est strictement réglé selon la loi fiscale qui va clarifier à la fois les durées normales d'utilisation des biens divers aussi bien que le mode de calcul de l'amortissement. La société fera devoir en plus créer dans une annexe de document la présentation de ses plans divers d'absorption. Après tout, le bon responsable de l'amortissement sera cela pour la perfection de son prix d'achat.

3. Le calcul des amortissements

Être capable pour déterminer la quantité de la dépréciation de ces biens immobilisés, les bases de société lui-même sur deux variables :

La durée normale d'utilisation du concerné bon : la dépréciation des bons dépend de la durée d'utilisation prévue par ce bon par la société. L'Administration fiscale a déterminé les durées habituelles d'amortissement selon les catégories différentes de biens susceptibles pour savoir une dépréciation irréversible :

Constructions administratives et commerciales : 25 ans

Constructions industrielles : 20 ans

Matériel industriel : 10 ans

Les meubles de bureau : 10 ans

Voitures : 5 ans

Poids lourd : 4 ans …

Le taux de dépréciation du considéré bon : qui mesure le taux de dépréciation qui va être appliquée à l'affaibli bon. Ce taux nous le verrons est une fonction de la durée d'utilisation normale du bon.

Une fois que ces deux éléments ont été cueillis, la société peut alors lever son plan absorbant qui présentera d'une façon projetée une évaluation de la dépréciation annuelle de chaque bon soumis à l'amortissement.

Ce plan absorbant apparaît alors de façon suivante :

Année

Valeur comptable dans le début d'exercice

Versement annuel d'amortissement

Le Somme des versements annuels

Valeur comptable nette à la fin d'exercice

1

2

3

N

Il y a alors pour la société deux méthodes de définir la quantité de leur amortissement annuel : la méthode a dit de la dépréciation de ligne droite et la méthode a dit de l'amortissement progressif.

1. La méthode de la dépréciation de ligne droite

Cette méthode est aussi appelée la méthode de l'amortissement constant dans le sens ou la quantité du versement annuel de restes d'amortissement stables partout dans l'espérance de vie prévue pour l'affaibli bon. Cette méthode de ligne droite est autorisée selon la législation fiscale et établit le système a dit du droit coutumier dans le sens qu'il peut s'appliquer à toutes les immobilisations a considéré comme remboursable.

1.1 Principe de calcul du versement annuel d'amortissement

Nous fixons dans préliminaire la durée d'utilisation de l'immobilisation remboursable et un calcul le versement annuel fixe d'amortissement annuel en faisant le rapport entre le prix d'achat de l'immobilisation et la durée d'utilisation du bon (évalué là n des années).

Ou :

Versement annuel d'amortissement = valeur d'origine des bons / numéro des années d'utilisation

Le taux de dépréciation linéaire est ainsi égal à 100 % / n des années.

Cf : exemple de demande

1.2 Problème possible concernant le calcul du premier versement annuel

Les essais de comptabilité de présenter l'équilibre de la société selon le principe de la sincérité des comptes. Maintenant, il n'est pas certain que la société va acheter l'immobilisation qu'elle souhaite affaiblir le premier jour de son exercice fiscal. Si par exemple, la société achète une immobilisation le 1 juillet, il semble illogique que l'on suppose que c'est un amortissement sur cette machine pendant l'année actuelle entière parce qu'il aura vraiment utilisé ce bon seulement pendant 6 mois. Pour fournir une image précise de la situation de la société, le calcul du premier versement annuel d'amortissement va ainsi tenir compte de la durée réelle d'utilisation de l'immobilisation en utilisant le principe "de temporis proportionnel".

Pour calculer il "temporis proportionnel", l'administration fiscale considère qu'un an se décompose dans 12 mois de 30 jours.

Le premier versement annuel d'amortissement sera ainsi équilibré par un coefficient concernant cela "temporis proportionnel" qui est défini de façon suivante :

Premier versement annuel = versement annuel de dépréciation de ligne droite * (n jours / 360)

Avec n = les numéros des jours d'utilisation de l'immobilisation pendant le premier exercice calculé de la date exacte de départ de l'immobilisation (qui diffère souvent de la date d'acquisition).

En conséquence, la société affaiblira l'immobilisation pas des années n, mais l'année n+1. Cette année supplémentaire permettra d'affaiblir l'immobilisation de la part du versement annuel d'amortissement non la première année tenue compte.

Cf : exemple de demande

2. La méthode de la dépréciation sur un équilibre de réduction

Contrairement à la méthode du taux de dépréciation linéaire, la méthode du taux de dépréciation gradué fait la variable le versement annuel d'amortissement dans le temps. Cela peut être fait nécessaire quand la durée réelle d'utilisation d'une immobilisation apparaît généralement comme moins levé que la durée prévue par l'Administration fiscale. Le taux de dépréciation linéaire est alors équilibré par un multiplicateur de coefficient défini par le régime de droit coutumier qui varie selon la durée normale d'utilisation du bon.

Taux tenu dans la structure d'une dépréciation sur un équilibre de réduction :

Durée normale d'utilisation

Multiplicateur de coefficient fiscal

Entre 3 et 4 ans

1,5

Entre 5 et 6 ans

2,0

6 ans supérieurs

2,5

Le taux de dépréciation gradué est ainsi égal dans :

Taux de dépréciation Gradué = taux de dépréciation linéaire * coefficient fiscal

Ce type d'amortissement progressif contient de certaines particularités :

La considération "de temporis proportionnel" est faite toujours sur la base du premier jour du mois ou l'immobilisation est acquise (et commençant).

La méthode de l'amortissement progressif ne s'applique pas à la durée totale d'utilisation de l'immobilisation. C'est le principe de la dépréciation de ligne droite qui s'applique aussitôt que le taux linéaire (calculé sur le numéro d'année ne restant rest à couvrir) devient supérieur au taux gradué réservé.

Dans le cas de l'envergure "de temporis proportionnel", le numéro des années de versements annuels reste toujours égal à l'espérance de vie prévue par l'immobilisation.

Cf : exemple de demande

Cette méthode d'amortissement a pour la conséquence pour augmenter la charge d'amortissement de la société de premières années en ce qui concerne la demande de la méthode de la dépréciation de ligne droite. Cette différence, que pas le résultat lequel des jeux d'écritures reflétant la politique différente d'amortissement pourrait nuie en comparaison des équilibres de sociétés entre eux. La législation fiscale limite ainsi l'utilisation de la méthode graduée à un numéro limité par le cas :

Les biens d'équipement industriels

Équipement mobile et immobilier utilisé dans l'affaire d'hôtel

Les constructions industrielles de construction légère

Certains matériels de bureau

Ces immobilisations ont en plus à sont acquis nouvel et non d'occasion.

1. Traitement de comptabilité des amortissements

Comme nous l'avons vu, l'enregistrement d'un amortissement traduit un appauvrissement de la société et l'observation dans ses comptes d'une charge supplémentaire venant pour diminuer son résultat de l'exercice.

En réalité, l'enregistrement de l'amortissement va ainsi concerner un compte de classe 2 (parce que la réduction d'un élément de l'actif concerne les immobilisations) et un compte de classe 6 (le compte de charge).

Plus exactement nous enregistrerons les amortissements dans les comptes de classe :

28: «L'Amortissement des immobilisations» qui est subdivisé de la même manière comme les comptes de classe 2 correspondants. (Si un s'est affaibli le bon enregistré dans le compte 213, nous utiliserons ainsi le compte 2813).

681: «Des allocations de Dépréciation et des dispositions» pour créer la charge attachée à cette réserve.

681

28

Date

Allocations de dépréciation

Amortissement des immobilisations

Immobilisations d'amortissement

Le compte 681 étant un compte de charge, il sera vendu, tandis que le compte 28 sera crédité parce qu'il remarque un appauvrissement de la société.

Cf : exemple de demande

2. Traitement de comptabilité de dispositions

Le traitement de comptabilité de la réserve variera selon le type d'actif concerné.

2.1 Cas des titres

L'enregistrement de la réserve doit traduire une pesanteur des charges financières pour la société et doit en plus diminuer la valeur des titres concernés.

Plus exactement nous enregistrerons la réserve dans les comptes de classe :

29: «Des Dispositions pour la dépréciation des immobilisations» qui est subdivisé de la même manière comme les comptes de classe 2 correspondants. (Exemple : pour les titres de participations enregistrées dans le compte 261, nous utiliserons le compte 2961).

686: «Des allocations de Dépréciation et des dispositions financières» pour créer la charge attachée à cette réserve et le fait que celui-ci doit nécessairement un actif financier de l'équilibre.

686

29

Date

DAP financier

Réservez pour la dépréciation d'immob.

Réservez sur des titres immobilisés

2.2 Cas d'actions

Le principe est exactement le même que pour les titres financiers sans ce temps, les éléments de l'actif de l'équilibre provisionnés sont les comptes de classe 3 (le compte de la réserve et les factures escomptées remarquables).

Plus exactement nous enregistrerons la réserve dans les comptes de classe :

39: «Des Dispositions pour la dépréciation d'actions et des factures escomptées remarquables» qui est subdivisé de la même manière comme les comptes de classe 3 correspondants. (Exemple : pour les actions de matières premières enregistrées dans le compte 31, nous utiliserons le compte 391).

68173: «Des Subventions dans des dispositions sur la dépréciation d'actifs courants» pour créer la charge attachée à cette réserve et le fait que celui-ci doit nécessairement un actif financier de l'équilibre.

68173

39

Date

DAP sur dépréciation d'actifs courants

Dispositions pour dépréciation d'actions et factures escomptées remarquables

Réservez sur des actions et des factures escomptées remarquables

2.3 Cas des clients de revendications

Il sera ici nécessaire de fonctionner dans deux étapes.

Tout d'abord, remarquez le changement de statut du client de revendication concerné qui devient dans la comptabilité ce que nous appelons une créance irrécouvrable.

Alors, enregistrez la réserve correspondant à la perte probable de valeur de la revendication.

416

411

Date

Client douteux ou litigieux

Clients de revendication

Enregistrement de client douteux

Total TTC

Total TTC

Pour changer le statut de la revendication, nous enregistrons la valeur de la revendication concernée TTC dans le compte 416 (le compte de tiers) et nous annulons l'enregistrement de cette revendication dans son compte initial 411.

Après, nous enregistrons la réserve entrant dans la déduction de la valeur de la créance irrécouvrable de la même manière quant aux autres dispositions.

Plus exactement nous enregistrerons la réserve dans les comptes de classe :

491: «Les Dispositions pour la dépréciation de client estiment».

68174: «Des Subventions dans des dispositions sur la dépréciation d'actifs courants» pour créer la charge attachée à cette réserve et le fait que celui-ci doit nécessairement un actif financier de l'équilibre.

Pendant sa création, la société "Tertiales" a enregistré le certain numéro des écritures qui ont été traduites par la construction d'un rapport de résultat suivant et un bilan :

La société remarque tandis qu'il fait enregistrer une immobilisation dans le compte 215 qu'elle peut soumis à l'amortissement. Le responsable vous demande de présenter les tables de rachat diverses de cette immobilisation selon les méthodes diverses proposées par le plan de compte sachant que la société a acquis ce bon le 1 juillet et l'a utilisé de ce jour dans son processus de production.

Voir corrigé :

1. Cas de la dépréciation de ligne droite sans temporis proportionnel

1.1 Détermination de la table de rachat

Les éléments suivants doivent être tenus compte :

La valeur comptable d'acquisition des bons : qui est ici 15000 euros H.T.

La durée d'utilisation des bons : qui a de 10 ans selon la classification fournie par l'Administration fiscale

Nous pouvons alors définir le taux de dépréciation linéaire appliqué à cette immobilisation qui aura de :

Taux de dépréciation linéaire = 100 % / n = 100 % / 10 = 10 % (une année)

Quels moyens que la société va affaiblir l'immobilisation sur la base d'un versement annuel d'amortissement égal à 10 % du prix d'achat de l'immobilisation, qui est 15000 euros 10 %.

Quantité du versement annuel d'amortissement = valeur d'enregistrement des bons * taux de dépréciation linéaire

La valeur comptable dans le début d'exercice est très égale à la valeur d'enregistrement de l'immobilisation H.T qui est 15000 euros;

Le versement annuel d'amortissement est le même chaque année;

À la fin de la période normale d'utilisation des bons, l'immobilisation est affaiblie pour une quantité égale à sa valeur d'enregistrer H.T. (Qui est 15000 euros);

La valeur comptable nette est ainsi l'invalide à la fin de 10 ans pendant lesquels la société continue à l'amortissement de son immobilisation.

1.2 Enregistrement de l'amortissement pour le premier versement annuel

En addition à cette opération, la société "Tertiales" devrait ainsi enregistrer dans ses comptes à la fin d'exercice l'écriture suivante :

681

2815

À l'année de fin 1

DAP

Amortissement matériel

Dépréciation de ligne droite sans proportionnel

1 500.00

1 500.00

1.3 Conséquence sur la situation patrimoniale de la société

L'enregistrement de cette opération aura des conséquences et à la charge du résultat (parce qu'un compte de classe 6 a été animé) et sur l'équilibre de la société (la modification du résultat de l'exercice et la dépréciation de la valeur de l'immobilisé bon).

L'enregistrement d'une charge supplémentaire dans les comptes de la société mène celui-ci doit créer une perte pour l'exercice au cours de 400 euros tandis qu'avant l'écriture d'amortissement, le résultat était profitable de 1100 euros.

La présentation de l'équilibre crée bien le maintien de la dépréciation de l'immobilisé bon attaché à son utilisation parce que la valeur nette de la machine se détache à 13500 euros après que la considération du versement annuel d'amortissement (la somme enregistrée sur le compte 2815 entre la déduction de la valeur crue de la machine correspondant à son original coûte H.T.)

Le total de l'équilibre de la société est diminué dans un équivalent de quantité d'un montant du versement annuel d'amortissement enregistré pour la machine (qui est 1500 euros).

Le total des passifs de l'équilibre est égal dans l'ensemble de l'actif net de l'équilibre (qui est 39600 euros) et le résultat étant négatif (la perte de 400 euros), il est représenté par une quantité entrent à la parenthèse quels moyens que cette valeur entrera dans la soustraction pendant la détermination du total du passif de l'équilibre..

2. Cas de la dépréciation de ligne droite sans temporis proportionnel

2.1 Détermination du premier versement annuel d'amortissement avec "temporis proportionnel"

La société "Tertiales" met dans le service la machine le 1 juillet de l'année actuelle.

Elle doit ainsi intégrer dans sa table de rachat la considération "de temporis proportionnel". Elle utilise alors la machine seulement pendant 6 pleins mois qui sont pendant 180 jours (6 mois * 30 jours).

Le premier versement annuel d'amortissement est ainsi égal dans :

Versement annuel de dépréciation de ligne droite * (180 / 360) = 1500 * 0.5 = 750.

En outre, l'amortissement de la bienveillance être fait l'un ou l'autre pour la durée de 10 ans (comme attendu par l'Administration fiscale) mais sur une période de 11 ans pour être capable d'affaiblir l'équilibre du premier versement annuel non tenu compte à cause de l'existence d'un "temporis proportionnel".

La table de rachat contient 11 bien des années et pas 10 à cause de l'existence d'un "temporis proportionnel"

Le dernier versement annuel d'amortissement est égal à la valeur d'un versement annuel de dépréciation de ligne droite achèvent moins de la partie du premier versement annuel la première année tenue compte. Ou : le dernier versement annuel = le versement annuel linéaire achève - le versement annuel de lui année1 = 1500 - 750 = 750

Le bon est complètement affaibli à la fin de l'année dernière.

2.2 Enregistrement de l'amortissement pour le premier versement annuel

En addition à cette opération, la société "Tertiales" devrait ainsi enregistrer dans ses comptes à la fin d'exercice l'écriture suivante :

Rapports :

Le DAP n'est pas plus que de 750 euros ce qui est traduit par un total de charges pour la 7 société de 500 euros contre 7850 euros de produits. La société devient de nouveau alors profitable pour une quantité de 350 euros.

La dépréciation des bons n'est pas désormais la première année que de 750 euros, ainsi le total de l'équilibre dans le passif et dans le printemps (net) actif à 40350 euros.

1. La méthode de la dépréciation sur une réduction s'équilibre sans "temporis proportionnel"

1.1 Détermination de la table de rachat

Il est nécessaire de tenir compte d'éléments suivants :

Durée d'utilisation prévue par le bon : 10 ans

Coefficient fiscal appliqué à cette immobilisation : 2,5 (parce qu'a duré 6 ans supérieur)

Achetez le prix de l'immobilisation : 15000 euros

Détermination du taux de dépréciation linéaire :

Taux de dépréciation linéaire = 100 % / 10 = 10 % (une année)

Détermination du taux de dépréciation progressif :

Taux de dépréciation progressif = taux de dépréciation linéaire * coefficient fiscal

= 10 % * 2,5

= 25 %

Détermination du mode d'amortissement une année :

Année

Taux de dépréciation Gradué

Taux de dépréciation linéaire

1

25 %

10 % (100 % / 10)

2

25 %

11 % (100 % / 9)

3

25 %

12,5 % (100 % / 8)

4

25 %

14 % (100 % / 7)

5

25 %

16,6 % (100 % / 6)

6

25 %

20 % (100 % / 5)

7

25 %

25 % (100 % / 4)

8

25 %

33,3 % (100 % / 3)

9

25 %

33 %

10

25 %

33 %

Rapports :

Le taux de dépréciation linéaire varie chaque année parce qu'il est défini selon le numéro d'années pendant lequel la bienveillance immobilisée être toujours affaibli (incluant l'année actuelle).

La 8ème année, le taux de dépréciation linéaire devenant supérieur au taux de dépréciation gradué, il sera alors repris pendant toutes les années cédant toujours la place à un amortissement pour l'immobilisé bon.

Nous pouvons alors lever le plan absorbant de la machine qui sera la suivante :

Année

Valeur comptable du début d'exercice

Versement annuel d'amortissement

Amortissements Accumulés

Valeur comptable nette à la fin d'exercice

Rapports :

Pendant les 7 premiers ans, le versement annuel d'amortissement varie à cause de l'utilisation de la méthode du taux de dépréciation gradué.

Pendant des années 8, 9 et 10, le calcul du versement annuel repose sur la méthode du versement annuel linéaire selon le taux de dépréciation linéaire défini précédemment et qui s'élève à 33,33 %. Ce taux s'applique alors à la valeur comptable nette dans le début d'exercice de l'année 8 qui est 2002 euros. Pendant des années 8, 9 et 10, le versement annuel linéaire est ainsi de 2002 * 33,33 % sont 667,33 euros (arrondis à 667 euros).

Le dernier versement annuel correspond à 668 euros du fait qu'ayant arrondi les versements annuels précédents, c'est nécessaire l'année dernière d'affaiblir le bon de la quantité égale à sa valeur comptable du début d'exercice pour que le total des amortissements corresponde bien à la valeur comptable d'enregistrement de l'immobilisation.

1.2 Enregistrement de l'amortissement pour le premier versement annuel

En addition à cette opération, la société "Tertiales" devrait ainsi enregistrer dans ses comptes à la fin d'exercice l'écriture suivante :

681

2815

À l'année de fin 1

DAP

Amortissement matériel

La dépréciation sur une réduction s'équilibre sans proportionnel

3 750.00

3 750.00

1.3 Conséquence sur la situation patrimoniale de la société

L'enregistrement de cette opération aura des conséquences et à la charge du résultat (parce qu'un compte de classe 6 a été animé) et sur l'équilibre de la société (la modification du résultat de l'exercice et la dépréciation de la valeur de l'immobilisé bon).

Rapports :

L'allocation de dépréciation ayant soit 3750 euros, le compte de résultats met en évidence une perte pendant le 2 an actuel de 650 euros (le total de charges 10500 euros - le total de produits 7850 euros).

Le total de l'actif net de l'équilibre et le passif de l'équilibre se détache à 37350 euros du fait notamment de la considération d'un résultat négatif (la perte) qui entre dans la déduction du total du passif (la figure apparaît entre parenthèses).

2. La méthode de la dépréciation sur une réduction s'équilibre avec "temporis proportionnel"

Rappel :

Dans le cas de la dépréciation sur un équilibre de réduction, lui "temporis proportionnel" commencent dans la date d'acquisition du remboursable bon.

La durée d'amortissement des bons séjours immobilisés la durée normale d'utilisation des bons quels moyens que la partie du premier versement annuel non tenu compte par lui "temporis proportionnel" ne cédera pas la place à un amortissement particulier.

2.1 Détermination de la table de rachat

Les modalités de détermination de la table de rachat ne changent pas à part la première année. Dans ce cas, le versement annuel de dépréciation sur un équilibre de réduction qui était comme nous l'avons vu précédemment de 3750 euros pendant l'année complète doit être maintenant équilibré selon la durée réelle d'utilisation du bon dans la société. Le bon ayant soit acquis le 1 juillet de l'année actuelle, le premier versement annuel sera ainsi égal dans :

Quantité du premier versement annuel * (numéro des jours d'utilisation / 360) = 3750 * (180 / 360) = 1875 euros.

Si nous tenons compte du calcul "de temporis proportionnel", nous finissons alors dans l'image suivante concernant la dépréciation sur un équilibre de réduction de la machine :

Année

Valeur comptable du début d'exercice

Versement annuel d'amortissement

Amortissements Accumulés

Valeur comptable nette à la fin d'exercice

Rapports :

La table de rachat tient un total de 10 ans;

Le premier versement annuel n'est pas plus que de 1875 euros considérant la considération "de temporis proportionnel";

Pendant des années 8, 9 et 10, le calcul du versement annuel repose sur la méthode du versement annuel linéaire selon le taux de dépréciation linéaire défini précédemment et qui s'élève à 33,33 %. Ce taux s'applique alors à la valeur comptable nette dans le début d'exercice de l'année 8 qui est 2336 euros. Pendant des années 8, 9 et 10, le versement annuel linéaire est ainsi de 2336 * 33,33 % sont 778,66 euros (arrondis à 779 euros).

2.2 Enregistrement de l'amortissement pour le premier versement annuel

En addition à cette opération, la société "Tertiales" devrait ainsi enregistrer dans ses comptes à la fin d'exercice l'écriture suivante :

681

2815

À l'année de fin 1

DAP

Amortissement matériel

La dépréciation sur une réduction s'équilibre sans proportionnel

1 875.00

1 875.00

2.3 Conséquence sur la situation patrimoniale de la société

L'enregistrement de cette opération aura des conséquences et à la charge du résultat (parce qu'un compte de classe 6 a été animé) et sur l'équilibre de la société (la modification du résultat de l'exercice et la dépréciation de la valeur de l'immobilisé bon).

Compte de résultats

Charges

Produits

Compte

Titre

Quantité

Compte

Titre

Quantité

601

Matières premières d'achat

5000

701

Ventes

7850

606

Pas achats stockés

750

641

Paiements

Rapports :

L'allocation de dépréciation ayant soit 1875 euros, le compte de résultats met en évidence une perte pendant l'année actuelle de 775 euros (le total de charges 8625 euros - le total de produits 7850 euros);

Le total de l'actif net de l'équilibre et le passif de l'équilibre se détache à 39225 euros du fait notamment de la considération d'un résultat négatif (la perte) qui entre dans la déduction du total du passif (la figure apparaît entre parenthèses).

Une société de la branche d'industrie décide d'acquérir du matériel informatique pour 18 000 euros H.T le total est 21528 euros taxes comprises le 1 avril 2003.

En considérant le temps nécessaire pour son installation, ce matériel sera vraiment utile seulement le 15 avril 2003.

Présentez le plan absorbant de ce matériel selon les méthodes diverses proposées par le général comptant le plan.

Version correcte :

1. Cas de la dépréciation de ligne droite sans temporis proportionnel

1.1 Détermination de la table de rachat

Les éléments suivants doivent être tenus compte :

La valeur comptable d'acquisition des bons : qui est ici 18000 euros H.T.

La durée d'utilisation des bons : qui a de 10 ans selon la classification fournie par l'Administration fiscale.

Nous pouvons alors définir le taux de dépréciation linéaire appliqué à cette immobilisation qui aura de :

Taux de dépréciation linéaire = 100 % / n

= 100 % / 10

= 10 % (une année)

Quels moyens que la société va affaiblir le matériel informatique sur la base d'un versement annuel d'amortissement égal à 10 % du prix d'achat de l'immobilisation, qui est 18 000 euros 10 %.

Versement annuel d'amortissement = valeur des bons * taux de dépréciation linéaire

= 18000 * 10 %

= 1800 euros (une année)

Nous pouvons alors lever le plan absorbant de la machine qui sera la suivante :

Année

Valeur comptable du début d'exercice

Versement annuel d'amortissement

Amortissements Accumulés

Valeur comptable nette à la fin d'exercice

Rapports :

La valeur comptable dans le début d'exercice est très égale à la valeur d'enregistrement de l'immobilisation H.T qui est 18000 euros;

Le versement annuel d'amortissement est le même chaque année;

À la fin de la période normale d'utilisation des bons, l'immobilisation est affaiblie pour une quantité égale à sa valeur d'enregistrer H.T. (Qui est 18000 euros);

La valeur comptable nette est ainsi l'invalide à la fin de 10 ans pendant lesquels la société continue à l'amortissement de son immobilisation.

1.2 Enregistrement de l'amortissement pour le premier versement annuel

En addition à cette opération, la société devrait ainsi enregistrer dans ses comptes à la fin d'exercice l'écriture suivante :

681

28183

À l'année de fin 1

DAP

Amortissement matériel

Dépréciation de ligne droite sans proportionnel

1 800.00

1 800.00

2. Cas de la dépréciation de ligne droite avec temporis proportionnel

2.1 Détermination du premier versement annuel d'amortissement avec "temporis proportionnel"

La société achète le matériel le 1 avril, mais le met dans le service vraiment seulement le 15 avril. Lui "temporis proportionnel" est ainsi décidé du 15 avril.

Elle utilise vraiment ainsi le matériel seulement pendant 8 mois et 15 jours sont 255 jours dans l'ensemble : 8*30) 15

Le premier versement annuel d'amortissement est ainsi égal dans :

Versement annuel de dépréciation de ligne droite * (255 / 360) = 1800 * (255 / 360) = sur 1425.

En outre, l'amortissement de la bienveillance être fait l'un ou l'autre pour la durée de 10 ans (comme attendu par l'Administration fiscale) mais sur une période de 11 ans pour être capable d'affaiblir l'équilibre du premier versement annuel non tenu compte à cause de l'existence d'un "temporis proportionnel".

La nouvelle table de rachat est ainsi la suivante :

Année

Valeur comptable du début d'exercice

Versement annuel d'amortissement

Amortissements Accumulés

Valeur comptable nette à la fin d'exercice

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