mercredi 9 avril 2008

Comptabilité Analytique

La comptabilité analytique a pour l'objet de fournir aux décideurs dans la société ou dans l'organisation, l'information nécessaire pour la prise de décision. Le terme de comptabilité de gestion a tendance à se substituer à la comptabilité analytiquesous l'influence Anglo-saxone (la gestion de comptabilité).

La connaissance des dépenses est, depuis le début de la révolution industrielle, un impératif de base de n'importe quelle prise de décision. La notion de comptabilité d'affaire a montré très tôt cette nécessité et a été traduite par la mise en oeuvre par les comptables, mais aussi par les ingénieurs et les techniciens, des systèmes de calcul capable d'aide d'eux dans leur gestion. Les historiens si les précurseurs de systèmes de liste d'affaire estimant de la fin du siècle XVIIth en Grande-Bretagne (notamment dans forgent et les fonderies de la région de Sheffield). En France une doctrine apparaît des années 1860 et nous plaçons en 1885 l'apparition du premier manuel.

Appelé à la première affaire estimant alors la comptabilité analytiqued'exploitation, la comptabilité de gestion indique que tous les éléments du système comptable ont considéré du point de vue de l'intérêt aujourd'hui qu'ils présentent pour la gestion interne.

Entre 1947 et 1999, les auteurs du général français comptant le plan ont voulu normaliser la comptabilité analytiquede la même manière comme la comptabilité financière (ou la comptabilité de général). Depuis 1999, la comptabilité de gestion n'est pas désormais normalisée. Ses méthodes et son organisation doivent être adaptés aux particularités et aux besoins spécifiques de chaque société ou organisation. En outre, l'objectif de la normalisation est de faciliter les comparaisons intercommencées. Maintenant, cet objectif ne concerne pas la comptabilité de gestion qui est pour l'utilisation interne et dont les résultats sont rarement révélés.

Des objectifs

La comptabilité de gestion est d'abord une comptabilité capable d'aider les leaders. C'est non seulement une question de calculer les dépenses de produits faits par la société, mais aussi particulièrement d'influencer le comportement des décideurs et d'aide d'eux pour atteindre leurs objectifs. Le but de l'analyse des coûts n'est pas ainsi comme longtemps pour savoir les dépenses des produits que permettre de gérer les ressources économiques de l'organisation.

Prévu dans cette perspective, les rôles de la comptabilité de gestion appartiennent à trois grandes catégories :

- Établir un système de mesure qui est la plus neutre et la plus objective possible. La détermination des dépenses reste un objectif principal de l'analyse des coûts, mais, au-delà de l'utilisation simpliste que quelques personnes étaient capables de le faire, il est nécessaire de tenir pour l'esprit que la fin d'un systéme de comptabilité de gestion doit améliorer la gestion et ne pas calculer des dépenses avec une grande exactitude. N'importe quel système d'information, le comptable ou l'extra-comptable, "consomme" des ressources de travailler et sa mise en oeuvre a l'intérêt seulement en ce qui concerne les actions qu'il rendra possible.

- Pour aider dans la prise de décision l'analyse des coûts trouve sa justification fondamentale là. La comptabilité de gestion établit une banque de données irremplaçable et un outil de traitement de données. Généralement il n'est ni possible, ni utile de savoir la perfection des dépenses associées à une décision donnée. Ce qui est important qu'il doit être capable d'associer à chaque contexte de processus décisionnel les dépenses appropriées ceux qui vont allumer son choix.

- Permettre le contrôle de gestion. Seulement la comptabilité de gestion est capable d'analyser les résultats, de faire apparaitre les éléments constitutifs, d'en fournir une décomposition par le produit, par la branche ou par la fonction. L'analyse des coûts est dans le service de la gestion et doit favoriser l'optique projetée.

L'organisation

En France, depuis la normalisation du général Comptant le plan de 1947, la comptabilité analytiqueest autonome en ce qui concerne la comptabilité générale. Au contraire, dans les pays Anglo-saxons où l'enregistrement et la comptabilité n'ont jamais été normalisés, la comptabilité de gestion est généralement intégrée dans la comptabilité financière.

Il y a plusieurs méthodes de calcul des dépenses, inscrites ci-dessous.

La méthode des dépenses complètes

Elle est facile de mettre en oeuvre et permet de déterminer le CUMP (le coût unitaire moyen équilibré) nécessaire pour l'estimation d'actions. Cependant la méthode utilisée par la distribution de fardeau indirect peut aboutir aux effets de subventionnements le déguisement des différences de rentabilité entre des produits.

Elle consiste dans la distribution des charges indirectes (la distribution de charges directes pas présentant des difficultés) dans les centres de distribution selon les clefs de distribution. Ces clefs, qui sont en fait des rapports, sont fixées plus ou moins arbitrairement par le contrôleur de gestion. Il n'y a, en effet, aucune clef qui peut être utilisée dans chaque cas. Une clef avait fréquemment l'habitude de distribuer les charges indirectes des studios de production est l'heure de main d'oeuvre directe (HMOD). La fixation de ces clefs est le reproche principal fait pour la méthode. En effet, elle suppose que les charges indirectes sont distribuées d'une façon linéaire selon des produits ce qui n'est pas le cas quand les produits sont divers. Ce fait d'être indistinct dans la méthode mène pour imputer des charges plus indirectes sur un produit et ainsi faire plier son coût pour l'avantage d'un autre produit, selon le principe de navires communiquants. Selon le choix de la clef de distribution, le résultat peut être parfois très différent et mener aux décisions fausses. Ce fait d'être indistinct est d'autant plus important comme la proportion des charges indirectes est très grande.

L'express de valeur (la méthode du coût variable)

La méthode permet de calculer projeté profitabilities, notamment selon des prévisions de ventes. Sa mise en oeuvre ne présente pas de difficultés principales et évite que de certains problèmes mettent de côté la méthode des dépenses complètes.

Elle consiste dans l'imputation à chaque produit les charges variables correspondantes. Nous pouvons déterminez ainsi une marge sur la variable coûtée par le produit (le chiffre d'affaires moins des charges variables correspondantes). Cette marge sur le coût variable reflète la participation de chaque produit dans l'envergure de coûts fixes, si la fuite des effets de dans une façon subventionnée observée pendant la mise en oeuvre de la méthode des dépenses complètes. Cette méthode est particulièrement utile d'évaluer la contribution de chaque produit ou groupe de produits à l'envergure des dépenses indirectes (qui est souvent appelé "frais de structure"). D'autre part, le coût de retours "coûtant à l'express" correspond au prix de vente ci-dessous lequel la société ne doit jamais descendre même dans la période d'activité faible.

La méthode de l'express coûtant développé (des dépenses spécifiques) est une variante de l'express coûtant unissant avec chaque produit des coûts fixes spécifiques et le CAE

La méthode l'ABC (à base d'Activité de valeur)

La méthode l'ABC adopte une vision différente de deux méthodes précédentes. Elle consiste dans l'énonciation de cela c'est les activités qui consomment des ressources et pas les centres d'activité. Nous disons souvent que cette méthode adopte une vision transversale de la société et l'un ou l'autre hiérarchique. Elle se base sur un organigramme opérationnel.

Le principe de la méthode est ainsi le suivant : les objets de dépenses (produit, des clients) consomment les activités qui consomment des ressources eux-mêmes.

L'ABC présente l'avantage pour allouer d'une façon plus précise les dépenses aux produits sans passer à une distribution des dépenses indirectes au moyen d'une unité de travail souvent arbitraire (par exemple les machines d'heures).

Le besoin d'une information plus précise a apparu avec l'évolution des industries modernes : du modèle "fordien" dans les modèles plus complexes et transversaux, actuels, la proportion coûte des express indirects / les dépenses dans le coût d'un produit ont été inversées. Si au début du siècle XXth les dépenses directes ont représenté plus de 70 % du coût total d'un produit, aujourd'hui, c'est les dépenses indirectes qui représentent la partie principale du coût.

En pratique, la première étape pour la mise en oeuvre d'un pas l'ABC consistera dans le modelage les processus de la société pour arrêter des circuits. Ces activités peuvent être par exemple : le traitement d'une commande, la gestion des références, ou tout de même la réception des marchandises. Pour chaque activité, un inducteur (le conducteur) sera tenu et suivi (par exemple, le numéro de commandes, les quantités de référence). Cet inducteur sera l'unité qui permettra de distribuer le coût total de l'activité.

Finalement, pour chaque produit étudié, le modèle clarifiera les inducteurs consommés, si la permission de l'élaboration du coût de retours.

D'habitude, l'activité est un constituant d'un processus. Les sociétés analysent ainsi leurs processus internes par les activités qui les composent. Une meilleure connaissance des processus permet de desserrer les forces et les faiblesses d'une organisation.

La Méthode du Calcul des Dépenses selon les Caractéristiques (MCCC)

Dans la suite de la méthode ABC, l'Américain J.A. Brimson propose dans les années 90 "la Fonction coûtant", publié dans un article en français en 1998 sous le nom "du Calcul des Dépenses selon les Caractéristiques". Cette méthode analyse la liaison entre les caractéristiques de produits et les dépenses dans chaque activité. Le principe améliore l'ABC en proposant une distribution plus appropriée des dépenses économiquement, mais, ayant exprimé le principe, Brimson a été particulièrement intéressé par son utilisation en terme de gestion.

Notez : le nom francophone officiel est "la Méthode des dépenses stables (MCS)".

La méthode CALADRIS

Depuis autour de dix ans, le Belge E. La côtelette développe la méthode CALADRIS dans la suite de la méthode l'ABC. Publié en 2006, cette méthode propose une solution pratique pour l'analyse des liaisons entre les dépenses et les caractéristiques de produits en s'approchant dans le mieux la réalité économique du processus de la société.

Cette méthode est basée, dans chaque activité du processus de la société et pour chaque type de charge, sur un système de fait d'être équilibré de la difficulté produite selon les caractéristiques de produits. Il en résulte les multicritères d'évaluation se clarifient utilisé dans le contrôle de gestion (le calcul du prix de revient d'un produit compris), dans une optique projetée (la préparation de l'évaluation, les offres et les taux) ou dans la gestion stratégique (l'analyse de la valeur des caractéristiques de produits).

La méthode CALADRIS ainsi apporte une grande précision incluant pour des sociétés de produits finis ou des services de la mesure ou très diversifié.

La méthode UVA (le crédit supplémentaire)

L'approche de la gestion par la méthode UVA

La méthode UVA va arranger comme l'objectif d'abord pour calculer le résultat (le bénéfice ou la perte) de chaque transaction commerciale entre la société et ses clients. On considère l'affaire comme le processus transversal élémentaire dans la société parce qu'il groupe ensemble tout le travail fait par toutes les fonctions depuis l'enregistrement de la commande, par voie de la production de produits, jusqu'à leur livraison et la collection de la facture. Une affaire est une somme de produits et un service.

L'affaire, étant le processus transversal élémentaire, établit "la brique de base" qui permet de comprendre tout à fait d'autre analyse de rentabilité : la rentabilité d'un client est la somme des résultats des affaires faites avec ce client, idem pour un produit ou un marché ou tout à fait d'autre groupement de clients ou des produits.

Comment la méthode UVA calcule-t-elle le résultat par la vente ?

À la différence des comptabilités analytiquebasées sur des retraitements de comptabilité (nous parlons aussi des distributions de comptabilité), la méthode UVA va passer à la description "du fonctionnement de gammes» dans toutes les fonctions de la société : production, mais aussi commercial, administratif, logistique, R*D, achats - provisions … Un fonctionnement de gamme se définit comme une suite d'opérations comprises sur des emplois dans un temps donné. Une affaire, pour être compris, va utiliser (pour consommer) le fonctionnement de gammes. Ce fonctionnement de gammes va être estimé dans UVA (l'unité de valeur supplémentaire).

Du point de vue technique l'UVA est la plus grande particularité de la méthode UVA. C'est l'unité de mesure, qui permet d'estimer le fonctionnement de gammes, approprié à chaque société, c'est la norme de mètre spécifique avec laquelle sera comparé toutes les consommations des ressources de tous les postes UVA (une configuration spécifique, homogène, d'un travail). L'avantage de l'utilisation de cette unité consiste en ce qu'elle est indépendante de variations monétaires et permet de gérer d'une façon simple des sociétés de complexe (ayant beaucoup de produits et beaucoup de clients), faire comme si la société a été mono-produite. Ainsi obtenir le coût de l'UVA en euro plus d'une période, le contrôleur de gestion va passer à une division simple des charges de valeur supplémentaire provenant de la comptabilité par le numéro d'UVA produit au cours de la même période.

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