mercredi 9 avril 2008

Comptabilité De Gestion


1 Utilité de la comptabilité de gestion

La comptabilité de général classifie les opérations par la nature. Elle fournit un résultat global (le compte de résultats) et la situation patrimoniale de la société (l'équilibre). Les objectifs de la comptabilité de général sont d'être :

Moyen de preuve entre magasiniers,

Moyen d'information des associés, les épargnants, les employés et les tiers généralement,

Moyen de calcul du plat des impôts divers.

La tenue d'une comptabilité de général est une obligation pour des sociétés, mais elle ne permet pas au regard d'information précise sur le coût d'un produit, une fonction ou sur la rentabilité d'une activité.

Les objectifs de la comptabilité de gestion sont :

D'une part, pour savoir les dépenses des fonctions diverses assumées par la société, pour déterminer les bases d'évaluation des certains éléments de l'équilibre, pour expliquer les résultats en calculant les dépenses de produits pour les comparer avec le prix de vente correspondant.

D'autre part, pour établir les prévisions de charge et le produit, pour remarquer la réalisation et expliquer distances qu'en résultent (le contrôle de gestion)

En général, la comptabilité de gestion doit fournir tous les éléments naturels pour allumer la recette de décision.

La comptabilité de général et de gestion est complémentaire. Ils ne répondent pas aux mêmes objectifs.

1.1 Savoir les dépenses des fonctions diverses de la société

Contrairement à la comptabilité de général, la comptabilité de gestion o pour l'objet principal de produire l'information pour l'utilisation interne des conditions d'exploitation de la société. Au moyen de la comptabilité de gestion, la société peut savoir les dépenses par la fonction (la provision, la production, la distribution)

1.2 Évaluer les certains éléments du patrimoine

1.2.1 Actions

Le droit commercial prescrit l'évaluation d'actions à leur coût de production pour les biens produits par la même société (produit fini, a produit le courant)

1.2.2 La production immobilisée

Le droit commercial indique que les immobilisations produites par la société doivent être réservées dans leur coût de production

1.3 Expliquer les résultats

La société peut ainsi analysez la rentabilité de passoire par le produit, l'acte pour réduire de certaines dépenses, décidez de tenir, abandonner, sous-traiter sur de certains produits ou de certaines fonctions, raffiner sa politique des prix etc …

2 Terminologie

2.1 Prix

C'est l'expression monétaire de la valeur d'une affaire, ce terme s'applique seulement dans la relation de la société de l'environnement extérieur (le prix de revient, le prix de vente)

2.2 Coût

C'est une accumulation des charges qui peuvent concerner un produit ou tout à fait d'autre objet pour lequel il peut sembler utile de grouper ensemble des charges. Quand il est d'un produit, le coût peut être décidé aux étapes diverses de son élaboration : coût du produit pourvu, coûté du produit fait, coûté du produit distribué ou coûté de retours.

2.3 Coût de retours (la finale)

C'est la somme des charges qui pour un produit correspond à l'étape finale d'élaboration (la vente incluse)

2.4 Marge

C'est la différence entre un prix de vente et un coût

2.5 Résultat

C'est la différence entre un prix de vente et un coût de retours

2.6 Incorporables charge et pas incorporables.

Ils sont incorporés des charges ou pas dans le calcul des dépenses, surtout par la décision du manager.

2.7 Dépenses directes et indirectes.

Les dépenses directes peuvent être allouées immédiatement sans calcul intermédiaire au coût d'un produit.

Les charges indirectes exigent qu'un calcul intermédiaire soit imputées à un produit défini (l'annexe 1)

3 Caractéristique des dépenses

Chaque type de coût se distingue selon trois caractéristiques indépendantes certains d'entre les autres

3.1 Champ de demande

Coûté par fonctionnement économique (production, administration, distribution)

Coût au moyen d'exploitation (magasin, usine)

Coûté par activité d'exploitation (produit, ligne de produit, commande par marché)

Coûté par responsabilité (gestion de ventes, direction technique, etc)

3.2 Le contenu

3.2.1 Méthode des dépenses complètes.

Toutes les charges sont intégrées dans les dépenses.

3.2.2 Méthode des dépenses partielles.

Seulement une partie de charges est intégrée. Exemple :

- Direct de valeur : les charges fixées ou de structure sont exclues du calcul des dépenses

- Méthode des dépenses directes : les charges indirectes sont exclues du calcul des dépenses.

3.2.3 Moment du calcul.

- Le coût remarqué (le coût réel ou historique), il résulte déjà a engagé des charges, le coût est calculé pendant la période finie, dans la plupart des sociétés, mensuellement.

- Preestablished coût : le coût projeté généralement décidé des dépenses remarquées, calcule pendant la période future. L'analyse des distances avec les dépenses remarquées permet de prendre les mesures correctives nécessaires. Cours n°2 organisation générale d'une comptabilité de gestion

1 organisation Hiérarchique des dépenses diverses.

Le cycle d'exploitation d'un souci industriel crée des phases auxquelles transmettent des dépenses successives. Voir des appendices 2 et 3

Définitions :

Le coût d'achat est établi par le prix de revient et les dépenses supplémentaires.

Le coût de production consiste en coût en matériels consommés (pris de la réserve) et charge attaché à la production.

Le coût sauf la production concerne seulement les produits vendus. Il est établi par le coût de distribution, l'administration générale, la gestion financière et les autres dépenses à être couvert.

Le coût de retours est le coût du produit distribué, calculé à la dernière étape de l'analyse. C'est ainsi d'un coût complet groupant ensemble toutes les charges correspondant à l'élaboration d'un produit jusqu'à la livraison au client

2 Organisation générale d'une comptabilité de gestion.

Voir l'annexe 4, 5 et 6. Cours n°3 : incorporables charges

L'annexion de charges et produits dans comptabilité de gestion.

Les différences entre les charges remarquées et dans la comptabilité de général et ceux tenus dans la comptabilité de gestion peuvent résulter :

- De la demande des méthodes spécifiques de calcul

- De la périodicité des calculs analytiques

- De la nature d'éléments

1 Différences résultant des méthodes spécifiques de calcul :

Charge avec remplacement

Il est de charges calculées avant l'incorporation dans le coût de la comptabilité de gestion. Leur remplaçant de quantités eux-mêmes pour ceux de la comptabilité générale. Il y a une différence d'annexion quand les charges de remplacement différeront de ceux de la comptabilité générale. Ils les types du souci 3 de charges.

1.1. Consommation de matériels.

Pour les certains calculs de coût, une valeur conventionnelle de sortie de réserve peut être substituée aux valeurs normalement utilisées.

1.2. L'allocation de dépréciation (l'observation d'une perte définitive des bons qui apparaît dans l'actif de l'équilibre)

L'amortissement pour la dépréciation est calculé dans le général estimant selon des critères souvent dictés selon la règle fiscale. Ces critères ne peuvent pas être appropriés au niveau de la comptabilité de gestion. Il est possible de substituer une charge de tradition pour le versement annuel d'amortissement tenu dans la comptabilité générale. La charge de tradition est comptée selon le rapport suivant : valeur d'utilisation d'immobilisation

Durée prévue par tradition.

La valeur d'utilisation tient une valeur mise à jour et pas l'histoire permettant le renouvellement de l'immobilisation. La durée de tradition peut différer de la durée tenue dans la comptabilité générale.

1.3. Subvention dans dispositions (pas perte irréversible de valeur).

Dans les subventions dans les dispositions de la comptabilité de général dont certains correspondent aux exigences juridico-fiscales, le remplaçant eux-mêmes charge décidé selon des critères définis par la société.

2 Différences résultant de la périodicité des calculs.

L'obligation légale dans la comptabilité de général est de passer à un ordre annuel. Les pièces de monnaie sont enregistrées comme on va le long. Il est très souvent qu'au moment des écritures de fin de l'exercice financier que nous croisons de certaines écritures (l'amortissement, des dispositions) et que nous arrangeons les comptes de gestion (demandent de payer, des produits alimentaires pour recevoir, charger et des produits remarqués à l'avance). Dans la comptabilité de gestion, la période de calcul des dépenses est plus courte que l'exercice, par trimestre ou la période surtout mensuelle. Toutes les charges et les produits, correspondant à la période de calcul des dépenses (et exclusivement ceux-ci), doivent être tenus compte. Cette considération sera traduite :

- Est par une attente de charges ou des produits incorporés dans le coût en ce qui concerne ceux de la comptabilité de général,

- Est par une diffusion de charges ou des produits déjà enregistrés dans le général estimant plus de plusieurs périodes des calculs de coût dans la comptabilité de gestion.

C'est possible dans le général estimant d'enregistrer périodiquement des charges ou des produits on peut connaître dont la quantité ou fixé à l'avance avec une précision suffisante par la fraction égale entre les exercices comptables de l'exercice.

Une telle distribution permet parmi d'autres de faciliter le rapport entre la comptabilité de général et la comptabilité de gestion.

3 Différence résultant d'éléments réservés

3.1. Charges et produits pas incorporables.

De certaines charges ou des produits réservés dans la comptabilité de général sont étendus du calcul des dépenses. C'est essentiellement d'éléments exceptionnels ou atypiques en ce qui concerne l'exploitation normale de la société (des charges et des produits exceptionnels, l'amortissement de dépenses de démarrage, la réserve de la dépréciation de VMP, des impôts sur les sociétés).

3.2. Charges auxiliaires.

Ils correspondent à la valeur des facteurs consommés de production dont le coût n'apparaît pas dans la comptabilité générale. Dans la comptabilité de général, le paiement pour ces facteurs de production est fait au niveau de l'affectation du résultat et pas par la diminution du résultat.

3.2.1. Paiement pour le travail du pas leader gagnant salaire.

Le cas du leader que paye sur le résultat de la société. Pour éviter de falsifier les calculs des dépenses, il est nécessaire d'incorporer une valeur calculée correspondant au travail du leader (incluant la charge sociale).

3.2.2. Paiement pour les actions d'actionnaires.

Non enregistré dans la comptabilité de général, mais, en cas de l'incapacité des actions des actionnaires, la société devra recourir. Dans les dettes et soutenir des charges financières. D'autre part l'affectation de capital à la société représente une perte en ce qui concerne un investissement. Ce paiement est calculé du taux moyen du capital emprunté

Noté : "réservé" : qui est tenu compte dans la comptabilité générale

Contrairement à la comptabilité de général, l'amortissement est calculé en ce qui concerne la durée de tradition réelle et non conventionnel.

Quand nous parlons du prêt, il est nécessaire de considérer les charges d'intérêt au prêt et faire le calcul suivant : emprunt*taux d'intérêt ou paiement

Le salaire du leader et des actions des actionnaires n'apparaît pas dans la comptabilité de général et est les charges ainsi auxiliaires de la comptabilité de gestion.

Le capital propres=total de l'Équilibre - des Prêts (qui intervient dans le calcul des charges d'intérêt au prêt)

Le calcul sur les actions des actionnaires est fait de façon suivante : les actions d'actionnaires * taux de paiement.

Pour une société individuelle, le salaire du leader est décidé comparé avec une société de la même échelle, le même Équilibre. Les certaines charges de la comptabilité de général sont exclues du calcul des dépenses, mais entre dans la comptabilité de gestion. Ils contribuent aussi aux différences d'annexion.

Pour des charges partiellement incorporables, nous considérons : quantité de la charge - partie incorporable; il est ce que que établit la différence d'annexion.

Certaines charges incluses pour une quantité d'autre que dans comptabilité générale : charges calculées :

Amortissement : rappel : dans la comptabilité de général, nous considérons le prix d'achat, le coût de tradition est incorporé dans les dépenses tant que les séjours d'immobilisation dans le service.

Dispositions :

Les dépréciations d'actions

Les dépréciations des autres éléments non couverts par les charges de tradition :

Risque : interview, réparation, les charges de garantie, charges accidentelles.

Matériels :

D'autres charges : abonnement : dépenses annuelles / moisCours 12 ou 11 n°4 : charges indirectes

Traitement de charges incorporées dans les dépenses.

Incorporables des charges dans les dépenses sont distribué dans des dépenses directes et des charges indirectes.

1.a. Dépenses directes

La charge qu'il est possible d'allouer immédiatement sans calcul intermédiaire aux dépenses d'un produit décidé (au moyen d'une facture, d'un contrôle de sortie de magasin, etc), l'exemple : matière première consommée pour la fabrication d'une procédure.

1.b. Charges indirectes.

La charge qui exige qu'un calcul intermédiaire soit imputé au coût d'un produit défini, l'exemple : assurance, loyer de locaux. La distribution entre des dépenses directes et indirectes résulte par dessus tout d'une décision de comptabilité. Dans la plupart des cas, la classification est évidente mais le responsibles peut conditionner cette classification selon la quantité de la charge ou la convenance de la suite administrative (l'exemple de la petite papeterie qui peut être des dépenses directes ou indirectes selon leur quantité.

Traitement des charges indirectes

1.c. Distribution selon les critères de proportionnalité.

Les charges indirectes sont imputées aux dépenses de produits en tenant un critère de proportionnalité (la proportionnalité en ce qui concerne les quantités produites, dans la figure d'affaire, dans les quantités vendues, etc la méthode est rapide, mais arbitraire. Selon les critères réservés, la distribution de charges indirectes tirera des résultats différents.

1.ème. Traitement des charges indirectes par la méthode des centres d'analyse.

1.d.i. Définition du centre d'analyse.

Le centre d'analyse est une division de comptabilité permettant pour grouper ensemble les éléments de charges indirectes auparavant d'eux imputé aux dépenses de produits. Les centres d'analyse correspondent ou à une division factice de la société, une division qui s'élève souvent alors à une fonction (l'administration, la distribution) ou dans une division réelle de la société ou le centre de travail, la division qui s'élève souvent alors à un service (l'atelier, le magasin). Il n'y a aucune norme quant au numéro de centre nécessaire. Les divisions sont variables selon la complexité de l'activité de la société.

1.d.ii. Caractère du centre d'analyse.

Le centre d'analyse doit être choisi dans une voie que les charges indirectes qu'il groupe ensemble le présent un caractère d'homogénéité pour que son activité soit mesurée chaque fois possible par une unité physique. Ce n'est pas toujours possible, où de la distinction faite entre des opérations se concentrent et le centre de structure.

1.d.ii.1. Centres d'opérations.

Leur activité peut être mesurée par une unité d'unité dite physique de travail (le poids de matériel travaillé, les comptes d'heures comprises). Cette unité doit :

- Pour caractériser l'activité du centre d'analyse et en conséquence varier dans la proportion aux charges du centre (il doit avoir la corrélation du coût du centre de lui le numéro d'unité de travail là).

1.d.ii.2. Centre de structure.

Leur activité ne peut pas être mesurée par une unité physique (l'administration générale). En absence d'unité de travail, nous calculons un taux de frais selon un plat conventionnel exprimé en euro pour la distribution de charges et ces centres (le coût de production, la figure d'affaire)

1.d.iii. Étape indirecte de la distribution de fardeau

1.d.iii.1. Distribution primaire

Elle consiste dans la ventilation des charges indirectes entre tous les centres concernés d'analyse. Elle est faite ou :

- Par l'affectation remercie aux moyens de mesure (la feuille d'indication, le mètre d'électricité)

- Par la distribution si nous utilisons les clefs de distribution entre les centres (le nettoyage de bureaux sur la base du m ²)

Nous distinguons 2 catégories de centre :

- Centres principaux : concentrez-vous dont les charges sont imputées aux dépenses de produits ou des commandes (les studios d'assemblée)

- Centre auxiliaire : le centre que travaille pour les autres centres auxiliaires ou principaux (l'interview, la gestion du personnel) pour voir le document N 1

1.d.iii.2. Distribution secondaire.

Elle consiste dans l'imputation des centres auxiliaires ou principaux selon les services fournis. Cette imputation est faite ou au moyen d'une clef de distribution ou sur la base des unités de travail consommé par le centre qui reçoit les services.

Deux situations peuvent être distinguées :

- Traité sur une base hiérarchique distribution secondaire ou transfert dans escalier. Les services sont transférés par les centres auxiliaires vers les autres centres (auxiliaire ou principal) sans examen. Voir le document N 2. Les dépenses d'achat et les méthodes d'évaluation d'actions

1. Les dépenses d'achat.

1.1. Présentation

Il est recommandé de calculer un coût d'achat pour chaque type de dont élément pourvu désire suivre le niveau de réserve. Les éléments pourvus peuvent être classifiés dans 4 catégories :

Les marchandises achetées pour être revendu comme sont

Les matières premières ou la papeterie ont eu l'intention d'entrer à la composition de produits

Les emballages ont eu l'intention de contenir des produits livrés à la clientèle,

Les matériels et la papeterie comestible consommée dans la première tradition qui contribue à la fabrication sans entrer à la composition de produits (l'exemple : l'essence)

1.2. Les constituants d'un coût d'achat

Le coût d'achat représente le coût d'éléments pourvus jusqu'à leur intérêt avec la réserve. Il comprend des dépenses directes et des charges indirectes.

1.2.1. Dépenses directes

Ils sont :

- Les achats ont diminué dans les réductions commerciales (la remise, la remise, des remises obtenues), les remises obtenues ne viennent pas pour diminuer des achats. Ils sont réservés dans le produit financier (estiment 76)

- Les dépenses supplémentaires d'achat, quand ils peuvent être directement alloués aux éléments pourvus (le transport, le courtage, le comité)

1.2.2. Charges indirectes

Les charges indirectes sont essentiellement les dépenses d'un ou plusieurs centres d'analyse de provision. Le coût tenu compte sera une fonction du numéro des unités de travail consommé par les éléments pourvus ou le plat de récemment la transmission.

2. Actions

2.1. Inventaire permanent

2.1.1. Définition

L'inventaire permanent de comptabilité est une organisation des comptes de réserve qui par l'enregistrement du mouvement permet de savoir d'une façon constante, au cours de l'exercice, existant calculé dans la quantité et dans la valeur. Cette notion s'oppose à celui de à l'inventaire occasionnel qui exige qu'un inventaire périodique sache la valeur et le niveau. C'est le cas de l'inventaire physique fait à la fin d'exercice pour le besoin de la comptabilité générale. L'inventaire permanent permet de savoir à tout moment des actions dans la valeur et dans la quantité et mène aux comptes de présent avec aux entrées de débit et au crédit les sorties.

2.1.2. Actions diverses

2.1.2.1. Produits Achetés

- Marchandises

- Matières premières et papeterie incorporée dans le produit

- Emballages

- Papeterie matérielle et comestible

2.1.2.2. Fait produits

Dans qui nous allons trouver fini, le courant, des produits intermédiaires (ou semifini), résiduel (des débris et le rébus). Les principes concernant la comptabilité de réserve sont identiques pour tous les produits.

2.2. Évaluation d'actions

2.2.1. Réserve initiale

Il est recommandé de reprendre dans le débit du compte la réserve initiale (qui est la réserve de la fin de la période précédente)

2.2.2. Entrées

Les comptes de réserve sont vendus par des entrées. Pour les produits achetés, les entrées sont faites dans le coût d'achat. Pour les produits faits, les entrées sont faites dans le coût de production

2.2.3. Sortie et réserve finale.

Les comptes de réserve sont crédités avec les sorties et avec la réserve finale. Les entrées successives peuvent avoir des valeurs différentes. Plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour évaluer ces sorties :

- Coût moyen équilibré avec 2 variantes : CMUP (l'unitaire équilibré font la moyenne le coût) plus d'une période ou après chaque entrée

- La méthode de l'épuisement de prix : les ENTRAINS (l'enlevé sont d'abord entrés d'abord à un) ou DEPS l'enlevé d'abord entré dernier un)

2.2.3.1. Méthode du CMUP au cours de la période

L'estimation des sorties est faite seulement à la fin de période en calculant le coût de moyenne d'unitaire équilibré par les quantités dans la réserve selon la formule :

Valeur de la réserve initiale + valeur d'entrée de période

Réserve initiale dans quantité + entré de quantité de période

La réserve finale apparaissant sur le crédit du compte de réserve est décidée par la différence entre la réserve initiale, levée par des entrées et les sorties ont été estimées dans le CMUP. Le compte de réserve doit être équilibré débit=crédit

2.2.3.2. Méthode du CMUP après chaque entrée..

Le CMUP est calculé après chaque entrée; et entre 2 entrées, toutes les sorties sont évaluées au dernier CMUP selon la formule :

Réserve dans valeur avant entrée + valeur entrée

Réserve dans quantité avant entrée + quantité entrée

2.2.3.3. Méthode de l'épuisement de prix ENTRAINS.

Aussi appelé méthode FIFO (premier entré, premier sorti)

Chaque prix est facticement individualisé (estimant purement l'ordre parce que les produits ne sont pas insociables dans le magasin. Les prix sortent d'une façon de comptabilité de l'ordre de l'âge. Avantage : la réserve évaluée comme le plus récent. Il n'est pas nécessaire d'attendre pendant la fin de période pour observer les sorties.

Inconvénient : les sorties suivent avec des changements de prix de retard. Dans la période d'augmentation des prix, la méthode d'ENTRAINS sous-estime les dépenses de retours et lève la réserve finale.

2.2.3.4. La méthode de l'épuisement de prix DEPS ou LIFO (dure dans d'abord de )

Cette méthode utilise le principe en face du précédent. Les sorties sont estimées dans le coût des derniers prix entrés.

Avantages : les sorties évaluées coût au maximum récent. En cas de l'augmentation de prix, la représentation sur le coût est immédiate. Il n'est pas nécessaire d'attendre pendant la fin de période pour estimer les sorties.

Inconvénient : dans la période d'augmentation des prix, la réserve finale est sous évalué et cette méthode n'est pas fiscalement reconnue.

2.2.3.5. Sorties évaluées à un coût théorique.

Les sorties peuvent être évaluées à un coût théorique. Plusieurs méthodes sont possibles :

- Le coût approché : l'objectif de cette méthode est d'obtenir rapidement et simplement une estimation dans le coût de remplacement des matériels consommés ou les marchandises vendues. Les sorties sont évaluées au coût probable de la période suivante. En fait, cette méthode est moins d'une technique de suite des actions qu'une méthode particulière de calcul des dépenses.

- Le coût a établi le pré : les sorties sont estimées de dépenses calculées d'avance. Cette méthode est utilisée dans la structure du contrôle de gestion. On ne suppose fiscalement aucune de ces méthodes.

Conclusion sur les méthodes diverses d'estimation des sorties et la réserve finale.

Toutes les techniques contribuent au même objectif : estimez les sorties de réserve. Personne n'est achevé et selon la méthode utilisée, la valeur de la réserve finale varie, ainsi la variation de réserve et, par conséquent, la quantité du résultat.

2.3. Différence d'inventaire

La pratique de l'inventaire permanent permet à tout moment de savoir les quantités théoriques dans la réserve. Le plan de compte impose au moins un inventaire physique (dans la fin d'exercice financier). Le pas la concordance entre existant théorique et existant réel crée les différences de quantité appelée les différences d'inventaire. Les causes de ces différences peuvent être multiples : l'erreur d'administratifs complémentaire, mesure à la dure (le poids par exemple, le vol ou la détérioration). La société doit créer la réserve finale pour la quantité réelle comptée. Elle doit lever les actions théoriques mais les dépenses calculées ne sont pas corrigées.

Les différences d'inventaire sont deux tris :

Réserve réelle < réserve théorique : il est du Mali d'inventaire a traité comme une sortie factice. Il sera enregistré a le crédit du compte de réserve.

Réserve réelle > réserve théorique : il est d'un bonus d'inventaire a traité comme une entrée factice. Il sera enregistré sur le débit du compte de réserve.

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